Entorse de la cheville : attention à la récidive !
Chaque jour en France, environ 6 500 entorses de cheville sont recensées². Cela peut paraître anodin, mais 70 % des patients ayant déjà souffert d'une entorse risquent de récidiver¹?. Plus grave encore, près de 40 % développeront une instabilité chronique?, et 20 % pourront aller jusqu’à une arthrose prématurée?. Alors comment bien soigner une entorse et éviter qu’elle ne devienne un véritable handicap au quotidien ? Voici ce qu’il faut savoir.
Qu’est-ce qu’une entorse ?
Une entorse correspond à un étirement ou un déchirement des ligaments², ces structures qui stabilisent nos articulations. Elle survient souvent à la suite d’un mouvement brusque, d’un faux pas ou d’un choc. Mal prise en charge, elle peut entraîner une douleur persistante, une instabilité et une perte de mobilité.
Que faire en cas d’entorse ?
Le mot-clé à retenir : GREC !
Immobiliser et renforcer
Une entorse n’est pas anodine et le temps de cicatrisation des ligaments peut durer entre 6 semaines et 3 mois?. Il est donc essentiel de :
Quand reprendre le sport ?
Pas trop tôt ! La reprise de l’activité physique doit se faire progressivement, une fois que la douleur a disparu, que la mobilité est revenue et que la cheville est de nouveau stable?. Une orthèse de reprise peut être recommandée à ce moment pour sécuriser les mouvements et éviter une nouvelle entorse.
- Entorse légère : 1 à 3 semaines
- Entorse moyenne : 4 à 6 semaines
- Entorse sévère : 6 semaines à 3 mois
Comment éviter l'entorse ?
- Faire une activité physique régulière pour renforcer les articulations.
- S’échauffer avant toute séance de sport pour bien préparer muscles et articulations¹?.
- Reconnaître les signes de fatigue et adapter son effort.
- Porter des chaussures adaptées à l’activité pratiquée.
- Adopter une alimentation équilibrée pour nourrir les muscles.
N'hésitez pas à demander conseil à votre pharmacien.
Mentions et références
BOA® est une marque déposée de Boa Technology Inc.
Malleo Dynastab® BOA® ouverte est un dispositif médical réglementé qui porte au titre de cette réglementation le marquage CE. Lire attentivement les instructions d’utilisation, indications et contre-indications du produit. En cas de doute, consultez un professionnel de santé. Date de mise à jour de l’élément promotionnel (02/2025).
Réf. : 8281/02000-01. Photos : Studio Catoire, Léa Putry/Shutterstock.com
Références
¹ Herzog MM, Kerr ZY, Marshall SW, Wikstrom EA. Epidemiology of ankle sprains and chronic ankle instability, J Athl Train, 2019.
² HAS. Entorses latérales de la cheville : Diagnostic, rééducation et retour à la pratique sportive, 2023.
³ ANAES. Rééducation de l’entorse externe de la cheville, 2000.
? Maughan KL, Ivins D. Acute Ankle Sprain, UpToDate / American Family Physician, 2006.
? Hubbard TJ, Hicks-Little CA. Ankle Ligament Healing, J Athl Train, 2008.
? D’Hooghe P, Cruz F, Alkhelaifi K. Return to Play After a Lateral Ligament Ankle Sprain, Curr Rev Musculoskelet Med, 2020.
? Janssen et al. Bracing superior to neuromuscular training, Br J Sports Med, 2014.
? ANAES. Rééducation de l’entorse externe de la cheville, 2000.
? Silva LM et al. Effects of Warm-Up and ReWarm-Up Strategies, Sports Med, 2018.
¹? Herzog MM et al., Epidemiology of ankle sprains, J Athl Train, 2019.
Thuasne - 120, rue Marius Aufan 92300 Levallois-Perret France
thuasne.com
THUASNE SAS - SIREN/RCS Nanterre 542 091 186 - Capital 1 950 000 euros
120, rue Marius Aufan 92300 Levallois-Perret (France).
Plus de 50% des 30-64 ans souffriraient de lombalgies au moins 1 jour par an1. Pour lutter contre ce “mal du siècle”, Gibaud® se mobilise pour soulager le quotidien des français, grâce à deux nouvelles innovations.
Spécialiste de l’Orthopédie, Gibaud® propose une nouvelle gamme de ceinture de soutien lombaire en cas de lumbago, sciatique et/ou mal de dos, qui permet de rappeler la bonne posture, soulager les douleurs et accompagner le mouvement. Lombogib® Finesse, issue de la recherche Gibaud®, est pensée pour s’adapter à la pathologie et au quotidien de chaque patient.
LOMBOGIB® FINESSE : UNE SOLUTION DISCRÈTE POUR LES ACTIFS
Ceinture lombaire légère, douce et respirante, la ceinture Lombogib® Finesse est conçue pour les patients souhaitant une solution discrète et confortable afin d’être soulagés dans leurs activités quotidiennes. Peu contraignante, elle se porte à même la peau et reste imperceptible sous un t-shirt : la solution idéale pour prendre soin de son dos au quotidien, en toute discrétion.
Dans quels cas la Lombogib® Finesse est-elle conseillée ?
La ceinture lombaire Lombogib® Finesse est particulièrement efficace dans le cadre d’activités quotidiennes, position assise ou debout prolongée. Elle permet de soulager le mal de dos grâce à un rappel de posture et d’éviter les faux mouvements.
Quels sont les atouts de la Lombogib® Finesse ?
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• Disponible en deux hauteurs différentes (21 & 26 cm), pour s’adapter à toutes les morphologies.
• Facile à mettre en place : marquage intuitif sur la zone de fermeture, présence d’un logo qui précise le sens de mise en place.
1- Gourmelen et al. (2007) Frequency of low back pain among men and women aged 30 to 63 years in France. Results of two national surveys. In Annales de réadaptation et de médecine physique (Vol. 50, No. 8, pp. 640-644). Elsevier Masson.
Les LOMBOGIB® FINESSE 21 cm et 26 cm sont des dispositifs médicaux de classe 1 indiqués pour les affections des lombaires pouvant bénéficier d’une restriction de mouvement, notamment dans les cas suivants : douleurs musculaires lombaires (Lumbago) ; sciatique ; lésions lombosacrées ; douleurs lombaires chroniques. Performance : le dispositif offre une restriction de mouvement de la colonne lombaire. Le dispositif réduit les contraintes sur les lombaires lors des mouvements de flexion et d’extension. Soulage les douleurs lombaires. Contre-indication : le dispositif ne doit pas être utilisé chez les personnes pour qui la compression est contre-indiquée. Remboursement : inscrit sur la base LPPR prévue à l’article L.165-1 du Code de la Sécurité Sociale dans les catégories Ceinture de soutien lombaire hauteur dos 21 cm - Tarif de remboursement : 47,19€ et Ceinture de soutien lombaire hauteur dos 26 cm – Tarif de remboursement : 55,86€. Avant la première utilisation, nous vous invitons à lire attentivement les instructions figurant sur la notice de votre produit. Ces dispositifs sont des produits de santé réglementés qui portent, au titre de cette réglementation, le marquage CE. Date d’approbation : JUILLET / 2023. GIBAUD : 73 rue de la Tour • BP 78 • 42002 Saint-Étienne • Cedex 1 • France
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1- Profil de pressions spécifiquement adapté à la zone pied - Brevet FR 2885035 : “orthèse compressive du membre inférieur en forme d’article tricoté de type bas, chaussette ou collant”.
2 - Thiney G, Becker F, Ouchène A. Observance et compression veineuse élastique. Etude de la facilité d’enfilage et des sensations au porter précoces. Phlébologie 2007 ; 60(3) : 293-302.
3 - Brevet FR 2942130 : « Procédé d’évaluation de la tenue sur le membre inférieur d’une orthèse de contention veineuse élastique tricotée ».
4 - Caractérisation des propriétés sensorielles liées à l’usage de 6 produits CVE de type chaussettes pour hommes, par la méthode du Profil. EHD1_2014_12 réalisée par l’IFTH, contrat 150064R, en février 2015.
5 - Evaluation de la facilité d’enfilage, de retrait et de la douceur de 6 produits de compression veineuse élastique (Format bas jarret), selon les principes de l’analyse sensorielle. Etude EHD1_2011_01 réalisée par l’IFTH, contrat 110 247 R, en
mars 2011.
6 - Etude interne n°ET_2014_09 : calcul du taux de couverture pour Legger® Classic et Legger® Surfine.
mars 2011.
7 - Fiche technique des fibres BeCoolTM
Legger® et Varisma® sont des produits de compression veineuse élastique des membres inférieurs indiqués dans les affections veineuses chroniques et aigües. Ces dispositifs médicaux sont des produits de santé réglementés qui portent, au titre de cette réglementation, le marquage CE. Lire attentivement les instructions figurant sur l’étui. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien. Juin 2023 – INN2306110 Fabricant : Laboratoires Innothéra. LABORATOIRES INNOTHERA S.A.S., immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Créteil sous le numéro B 388 422 594, dont le siège social est situé 22, avenue Aristide Briand, 94110 Arcueil, France.
Les Laboratoires INNOTHERA présentent la compression médicale transparente pour des jambes légères toute l’année !
Douleurs, jambes lourdes et gonflées peuvent se faire ressentir tout au long de l’année et surtout à l’approche de la saison estivale. La compression médicale apporte une solution naturelle aux pathologies veineuses pour soulager les jambes souffrant d’inconfort(1). Dans ces situations, une observance toute l’année est la clé pour éviter les risques de complications de la maladie veineuse, qui touche de plus en plus de personnes(2).
Or, 1 femme sur 2 abandonne son traitement thérapeutique en saison estivale(3), même si 73% des patientes voient leurs symptômes aggravés par la chaleur(4). Les raisons : inconfort et inadaptation du produit à leur style vestimentaire en cette période(5).
Pour favoriser l’observance et que les femmes puissent s’habiller comme elles le souhaitent aux beaux jours, sans contraintes, Les Laboratoires Innothera ont développé deux gammes de compression médicale labellisées “Origine France Garantie” avec une maille solide(6)(7)(8) ”effet peau nue”(9)(10).
Les gammes Smartleg® Transparent et Varisma® Nuances offrent des modèles pour toutes les morphologies (11)(12), des modèles qui s’intègrent parfaitement à tous les styles de vie. Chaque femme a le choix du format et du coloris “effet peau nue” qui lui correspond le mieux. En plus, ces produits ne tiennent pas chaud(13) !
Chaque année en France, près de 80 000 nouveaux cas de cancers cutanés sont diagnostiqués. Parmi eux, 11 000 relèvent de la catégorie des mélanomes, la forme la plus agressive des cancers de la peau. Laquelle est à l’origine de 1 500 décès chaque année.
Il n’existe pas « un » mais « des » cancers de la peau. Leur nombre a plus que triplé entre 1980 et 2018. Cette évolution est très certainement due à l’engouement suscité par l’exposition au soleil. En effet, les rayonnements UV sont un facteur de risque avéré de survenue des cancers de la peau. Il en existe deux types : les carcinomes cutanés, les plus fréquents, sont facilement guérissables. Plus rares, les mélanomes sont beaucoup plus agressifs.
Se développant à partir de la partie la plus superficielle de la peau, les carcinomes cutanés représentent 90% des cancers de la peau. Avec plus de 65 000 nouveaux cas par an en France, ils figurent parmi les cancers les plus fréquents… Mais aussi parmi les moins méchants, notamment pour les plus communs d’entre eux : les carcinomes basocellulaires pour lesquels il n’y a pas de métastases. L’autre forme, les carcinomes épidermoïdes peuvent, s’ils ne sont pas traités à temps, entraîner des conséquences sérieuses tel que le développement de métastases.
Ce sont les cancers de la peau les plus graves. Le mélanome est nommé ainsi car il affecte les mélanocytes, situés dans la couche profonde de l’épiderme. Ces cellules produisent la mélanine, ce pigment qui colore la peau et la protège - partiellement - des rayons ultraviolets (UV). Le facteur de risque principal reste l'exposition solaire, en particulier les graves coups de soleil lors de l'enfance et de l'adolescence.
Certaines caractéristiques individuelles augmentent le risque de survenue de cancers cutanés. Toutefois, la plupart d’entre eux sont évitables : deux tiers des cancers de la peau sont ainsi imputables à une exposition au soleil trop importante.
Il existe 2 types d’UV : les UVA et les UVB. Les premiers pénètrent dans les couches profondes de la peau où ils ont un effet sur le tissu conjonctif et les vaisseaux sanguins. Une exposition importante aux UVA provoque ainsi un vieillissement prématuré de la peau.
Les seconds, eux, sont ceux qui provoquent les coups de soleil. Ils sont 1 000 fois plus puissants que les rayons UVA. Lorsque la peau est exposée aux UVB, elle met en marche un mécanisme de défense. C’est le bronzage. Mais lorsque cette agression solaire dépasse un certain seuil, une réaction inflammatoire s’enclenche, détruisant des milliers de cellules de l’épiderme, occasionnant une brûlure.
Ainsi, les UVA et les UVB, en atteignant la peau, agressent les cellules cutanées et peuvent provoquer des lésions de l’ADN et entraîner l’apparition de cellules cancéreuses.
Les bancs solaires, pas inoffensifs !
Le bronzage artificiel n’est pas bon pour la santé. A tel point que les rayonnements UV artificiels sont classés cancérogènes certains pour l’être humain par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) depuis 2009. La raison ? « Les cabines de bronzage émettent des rayonnements à forte intensité, équivalant à l’exposition à un soleil tropical. Ces doses reçues lors des séances de bronzage artificiel se cumulent à celles reçues naturellement. Elles provoquent des dommages de l’ADN et augmentent le risque de cancers cutanés », explique l’Anses. En France, les bancs solaires sont d’ailleurs interdits aux moins de 18 ans. Et certains pays, comme l'Australie, ont déjà interdit l'usage des cabines à UV.
Si le rayonnement UV est pourvoyeur de 80% des cas de cancer, d’autres éléments peuvent favoriser la survenue d’un carcinome ou d’un mélanome.
Le phototype
Nous ne sommes pas tous égaux face au risque de cancer. Ainsi le type de peau – ou phototype – est un élément de première importance. Les personnes qui ont une peau claire propice aux coups de soleil, des taches de rousseur, des yeux clairs et des cheveux blonds ou roux ont un risque plus important de développer un mélanome ou un carcinome. Cela étant, quel que soit le phototype, il est indispensable de se protéger des UV.
Le nombre de grains de beauté
Plus le nombre de nævi est important (lorsqu’il existe plus de 50 grains de beauté), plus le risque de cancer de la peau est élevé. Il est alors multiplié par 4. De plus, si ces grains de beauté mesurent plus de 5 mm, le risque augmente également.
Les antécédents familiaux
Si un parent du premier degré (père, mère, frère ou sœur) a eu un mélanome, le risque d’en développer un soi-même est multiplié par 2 ou 3. Il est donc important que chaque membre de la famille touché par le mélanome se fasse surveiller régulièrement par un dermatologue.
Conseils :
Surveillez particulièrement votre peau si :
Votre mode de vie (profession ou activité de loisir) donne lieu à des expositions solaires intenses et répétées
Les cancers de la peau ne peuvent pas être « dépistés » au sens strict, puisqu'on ne peut pas les identifier avant l'apparition de symptômes. Mais il est possible de les détecter au plus tôt en procédant à des examens réguliers de la peau. Car détectés à temps, à un stade peu développé, les cancers de la peau peuvent être guéris la plupart du temps.
Ils apparaissent le plus souvent après 50 ans, habituellement sur les parties découvertes du corps (visage, épaules, avant-bras, mains…). Le plus souvent, ils prennent l’aspect d’une plaie qui ne cicatrise pas ou d’un bouton ou d’une croûte qui persiste et se modifie. De tels signes doivent vous conduire à adresser votre patient à un dermatologue.
Sous certaines conditions, un grain de beauté peut donner naissance à un mélanome. Il est donc important d’observer régulièrement sa peau. Pour repérer facilement tout changement d’aspect d’un grain de beauté, il existe une règle simple, la règle ABCDE :
Quel que soit le type de peau, plusieurs précautions sont à prendre pour réduire la pénétration des rayons UV dans la peau :
Conseils :
Même si les risques sont de plus en plus connus par le grand public, certaines fausses idées continuent de circuler largement :
Faux. En fait, tous les parasols ne se valent pas. Si aujourd’hui, certaines toiles sont « anti-UV », la plupart laissent passer une partie du rayonnement solaire. En clair, à la plage, le parasol c’est utile mais ça ne protège pas intégralement.
Faux. Même s’il est toujours agréable d’avoir le teint hâlé, le bronzage est une réaction de défense de la peau face aux agressions du soleil. Le bronzage ne dispense donc pas d’une application de protection solaire.
Faux. Il est impossible de préparer son épiderme à l’exposition au soleil, tant pour booster le bronzage que pour diminuer le risque de coup de soleil. Les compléments alimentaires et les autobronzants n'apportent aucune protection. Ils donnent simplement un teint hâlé.
Faux. Même par temps couvert, plus de 80 % des rayons UV percent la couche nuageuse. Il est ainsi primordial de se protéger au moyen de lunettes de soleil, crème solaire et chapeau.